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Un étranger «jette un oeil» à la langue française et s’en moque
VIDÉO Comment les étrangers voient le Français – «Poser un lapin», «prendre un râteau», «donner un coup de fil»… Quand le français est lu au premier degré, il peut rapidement devenir cocasse. Un étudiant brésilien peu familier de ces images insolites, va l’apprendre à ses dépens, dans une vidéo très hilarante…
Alors que débute la Semaine de la langue française, il est fascinant de découvrir de quelle manière est perçu le français par les étrangers. Dans leur vidéo Comment les étrangers voient les Français?, les youTubeurs Swann Périssé et Matthieu Corno ont revisité avec humour et génie les expressions du dictionnaire français. Ainsi, si l’on prend au sens littéral l’expression «jeter un oeil au menu», celle-ci peut faire très mal… se transformant même en une séquence horrifique.
Alors, et si tout était pris au pied de la lettre? Alors qu’un jeune Brésilien, fraîchement débarqué dans l’Hexagone, se joint à une discussion entre amis dans un bar, celui-ci est rapidement confronté aux allégories et autres métaphores de la langue française de ses camarades de table. L’étudiant circonspect à l’idée «de se faire poser un lapin» ou de «prendre un râteau» se met ainsi à imaginer les scènes racontées dans des sketchs, plus surprenants les uns que les autres…
«Fourmis dans les jambes»
«On a fait une nuit blanche», lance une jeune femme, tandis que le jeune Brésilien, l’air hagard, se figure son amie littéralement entièrement vêtue de blanc, esquissant un spectacle de pantomime dans sa chambre avec son petit ami, avant de l’imaginer cette fois-ci sous la douche «recevant un coup de fil»…
Pris dans un enchaînement d’images toute plus farfelues les unes que les autres, entre «taillage de pipe», «humour noir» et «fourmis dans les jambes», l’étudiant va ainsi découvrir les mystères et subtilités de la langue de Molière. Cette vidéo vaut le détour, tant leurs auteurs ont mangé du lion…
Source: http://www.lefigaro.fr/culture/2016/03/14/03004-20160314ARTFIG00101-un-etranger-jette-un-oeil-a-la-langue-francaise-et-s-en-moque.php#xtor=AL-201
Zijn tolken ondernemers?
Zijn tolken ondernemers? Echt wel! #tenvcongres #paneldiscussie #tolkenenvertalersaanhetwoord
Accuracy is central to the work of all interpreters
No justice without interpreters
5 March 2015 By Kate Mackintosh
As the International Criminal Tribunal for the former Yugoslavia works towards the end of its case list, deputy registrar Kate Mackintosh reflects on the mechanics that made the pioneering institution possible.
Although we rarely see them behind the shaded glass of their courtroom booths, international justice could not exist without interpreters. Pioneered at the Nuremberg trials, simultaneous interpretation in the courtroom has come a long way since 1945.
Interpreters at the International Criminal Tribunal for the former Yugoslavia (ICTY) have overcome a diverse set of difficulties since the tribunal’s inception, starting with challenges to the very existence of the language predominantly spoken in the former Yugoslavia: Serbo-Croat. Sensitivities surrounding Serbo-Croat stemmed from the break-up of the former Yugoslavia after which the separate nation states went on to identify Serbian, Bosnian and Croatian as different languages. This led to certain defendants and witnesses claiming that they could not understand the language spoken by an interpreter from a different ethnic group. Advice was sought from prominent linguists as to whether this was a plausible argument, which came back in the negative. The ICTY then invented a new name for this shared language: Bosnian/Croatian/Serbian or B/C/S, which has become a common and accepted term at the tribunal.
Accuracy is central to the work of all interpreters. In a criminal trial it is essential. The interpreters’ words become evidence, as they are recorded in transcripts that become the official trial record and are quoted in judgments. At the ICTY, the prosecution and defence are constantly scrutinising the transcript in court, ready to challenge any aspect of the interpretation that they consider incorrect, or prejudicial to their cause.
Read the whole article on http://www.lawgazette.co.uk/analysis/comment-and-opinion/no-justice-without-interpreters/5047270.article